Bien dans ses baskets

sans se prendre la tete !

La poisse dans les transports? Pire que ça!

Rodius_panne

Sommaire de l'article

Les transports et nous, c’est une longue histoire. Semée d’embûches. Que ce soit en voiture ou en train, j’ai peu de souvenirs de trajets sans histoires. Et quand on partage sa vie entre la Bretagne et les Alpes, forcément, on voyage beaucoup… Running-gag en perspectives 😉

Les galères en train

Pour notre premier voyage en amoureux, déjà, nous étions partis en train, sacs et tente sur le dos, direction les Alpes (déjà, aussi 😉 ). Et notre train s’est gentiment arrêté en rase campagne pendant plus de 3h, avec le petit bonus de la SNCF : aucune information, ni sur le temps d’attente, ni sur les raisons de cet arrêt, et encore moins sur les correspondances. Le train suivant s’est finalement transformé en bus (petite précision : j’ai le mal des transports, surtout en bus…).

Et c’est pas fini!

Au moment de prendre le bus, ça coince : nous sommes trop nombreu , tout le monde ne peut pas monter. Forcément, les 2 personnes devant nous sont les dernières à pouvoir monter dans le bus, nous attendrons 1 heure de plus un bus supplémentaire. Sans enfants à l’époque, c’était plutôt facile à gérer.

Mon cauchemar…

La situation s’est compliquée quand j’ai dû gérer seule avec les 3 enfants. L’occasion d’un récit épique : La nuit où la SNCF et OuiGo m’ont abandonnée dans la rue seule avec mes 3 enfants. Au final, ces galères de transport en train restent bien loin de nos galères en voiture…

Les galères en voiture

Notre première « vraie » panne date de 2007. Dans les Alpes en vacances (encore!), la veille de notre retour, moteur de la voiture cassé alors que nous sortions du garage. S’en suivent plus de 6 mois d’expertises, contre-expertises, dossiers et devis en tout genre. Pour repartir avec notre voiture, nous-même allégés de 3000€ pour un nouveau moteur (d’occasion). La même voiture qui a fini contre une barrière d’autoroute l’année dernière.

Accident voiture épave démarches administratives assurances
Aucun doute, elle est fichue…

Notre quotidien a ensuite été rythmé par les pannes à répétition de notre Espace 4, qui nous a fait connaître des situations mémorables. La dernière d’entre elles étant le déménagement vers Annecy avec l’Espace chargé à bloc + les vélos à l’arrière, qui a décidé de ne pas franchir le massif central. Un moment d’anthologie, à revivre dans cet article : Voir le bon côté des choses, même dans les situations désespérées.

Espace_4_Renault_panne_autoroute
Le coup de la panne

Heureusement, notre super assistance (voiture de remplacement pendant 30 jours, transfert en taxi pour récupérer la voiture de location, possibilité de rendre cette voiture n’importe où, etc…) nous a sauvés plus d’une fois!

Vous l’aurez compris, dans nos galères, on essaie toujours de garder le sourire. Parce que ça ne sert à rien d’en rajouter et que c’est plus agréable pour tout le monde.
N’empêche, au bout d’un moment, on a eu envie de calme et de tranquillité dans notre quotidien (et puis on avait testé toutes les voitures de location de l’agence près de chez nous 😉 ). On s’est donc décidé à lâcher notre Espace pour prendre une voiture familiale : un Rodius Ssangyong.

ssangyong_rodius_voiture_familiale
On a vu plus beau…

Les galères avec notre Rodius

Le choix de cette voiture un peu étrange ne doit rien au hasard, j’y consacrerai un article complet. Il s’agissait notamment de la fiabilité à toute épreuve de ce véhicule (vous allez rire…). Après quelques recherches, nous avons trouvé un modèle qui nous convenait sur Le Bon Coin. Et là, c’est le début de la poisse puissance 10000 (je pourrais mettre 15 zéros).

Episode 1 : le train et le Rodius

Le Rodius de notre choix est à Metz, il faut donc aller le chercher. En train, le trajet est -normalement- assez simple, avec un seul changement à Paris. La météo est au beau fixe, je décide d’emporter ma trottinette pour faire le changement Gare de Lyon/Gare de l’Est (Mam’an Forme, tout ça 😉 ). J’ai 1h30 pour parcourir 5 km, autant en profiter!
A mon arrivée sur Paris, le ciel me semble drôlement menaçant alors que la météo annonçait un grand soleil… A la sortie de la gare, il tombe même quelques gouttes. « Même pas peur » se dit la Bretonne que je suis (en oubliant complètement notre poisse légendaire dès qu’il s’agit de transport… Autant dire qu’en allant chercher une nouvelle voiture en train, j’aurais dû sentir arriver les problèmes!!!). Me voici lancée sur ma trottinette dans les rues de Paris, je savoure de retrouver la capitale. Et la pluie s’intensifie… Je finis par être obligée de m’abriter sous les arbres en bord de Seine, c’est à présent l’orage qui gronde et les éclairs qui illuminent le ciel (oui, je sais, on ne s’abrite pas sous un arbre quand il y a de l’orage!). En toute logique, je me dis que ça va passer, on n’est pas à la montagne, il ne pleut pas des cordes pendant 3 heures, l’averse va se calmer en moins de 5 minutes (j’ai quand même un train à prendre, je vais pas rester sous mon arbre 3 heures….). Sauf que c’e’st tout l’inverse qui se produit : la pluie tombe encore plus fort, je finis par prendre l’eau sous mon arbre, je n’ai d’autres solutions que de traverser pour aller me réfugier sous l’avancée de toit d’un immeuble. 15 secondes pour traverser le boulevard = je suis trempée. Ma trottinette est inutilisable, le sol est trempé et ultra-glissant. La situation est de pire en pire chaque seconde, un torrent se forme dans la rue à mes pieds. 2 minutes pus tard, la situation ne s’arrange toujours pas, il ne me reste plus qu’à courir jusqu’à la station de métro au bout de la rue. Ma trottinette dans une main, mon sac à dos (avec mon ordi…) dans l’autre, je pique un sprint mémorable, avec des petits sauts de cabri pour éviter les « flaques » (des trous d’eau) et les torrents contre les trottoirs. J’arrive finalement dans la station de métro dont PERSONNE ne sort. On a l’impression que je sors de ma douche… toute habillée. J’ai le mérite de faire sourire tous les gens qui attendent que la pluie se calme à la bouche de métro 🙂 Je prend le métro pour rejoindre la gare en me disant qu’il me reste 2 heures pour sécher et ne pas faire peur au monsieur qui me vend la voiture…

Mais c’est pas fini!

Arrivée à la gare, j’ai même le temps de prendre un café latte au Starbucks en textotant mes mésaventures à mon chéri (obligé de rester à la maison pour cause de double fracture des vertèbres suite à une chute de vélo en rentrant du boulot -la poisse, vous avez dit???). Un message est diffusé sur les hauts-parleurs, je ne l’entends pas depuis le Starbucks mais j’ai l’impression que ça s’agite dans la gare… Je repars avec mon café latte vers mon quai, le départ est prévu dans 20 minutes. Et là, j’entends LE message : la foudre est tombé sur les caténaires, l’alimentation électrique de la gare est entièrement coupée, plus aucun train ne circule ni au départ, ni à l’arrivée. Le trafic sera rétabli dès que possible…. MERDE. Bon, je vais avoir le temps de déguster mon latte et mon muffin noix de pécan. Par contre, je ne suis pas prête de récupérer ma nouvelle voiture…
Lueur d’espoir : 1/4 d’heure plus tard, on nous informe que notre train est prêt et qu’on peut embarquer, l’alimentation électrique devrait être rétablie rapidement. Sauf qu’une fois sans le train, on n’entend plus les messages diffusés par les hauts-parleurs dans la gare. Plusieurs personnes qui devaient faire l’aller-retour vers Metz dans la journée commencent à quitter le train pour trouver un autre moyen de transport ou annulent leur déplacement. Je devais retrouver le vendeur de la voiture à 12h sur le temps de sa pause déjeuner, on nous annonce déjà 1h45 de retard… Je dois décaler le RDV, ce sera après son travail à 18h (si je suis arrivée… Et je dois enchaîner avec les 6h de route pour redescendre sur Annecy…). J’arrive finalement à Metz vers 15h30, j’en profite pour découvrir la ville que je ne connaissais pas du tout. Comme quoi la trottinette m’aura quand même servie;-) Et puis j’ai le temps de sécher, j’ai -presque- l’air présentable lorsque je rencontre le propriétaire de la voiture #ToujoursVoirLeBonCôtéDesChoses…

Vont suivre 48h sans aucune galère! Sans doute les seules 48 heures paisibles des ces 2 derniers mois… Le Rodius roule bien, il est super grand, un vrai bonheur!

Episode 2 : le double effet kiss-cool

2 jours après mes aventures, on s’apprête à aller faire quelques courses le dimanche matin : 1 pneu est à plat 🙁 Tentative de regonflage & rectificatif : on s’est fait crevé le pneu d’un coup de couteau. Dans notre quartier hyper tranquille d’Annecy où il ne se passe JAMAIS RIEN. Le pneu en question est un Cross Climate, la dernière génération de pneu 4 Saisons Michelin : plus de 150€ LE pneu. Qui était quasiment neuf…

Et c’est pas fini

Notre Rodius est un 4*4, 4 roues motrices à transmission permanente. Traduction : il faut OBLIGATOIREMENT changer les 4 pneus en même temps. Tout le monde a fait le calcul dans sa tête? Ça commence à chiffrer sérieusement…
Après contact avec l’ancien propriétaire pour récupérer la facture des pneus pour l’assurance, une bonne nouvelle : les pneus étant quasiment neufs, on peut en changer 1 seul! Ouf… Aussitôt dit, aussitôt fait, la commande est passée sur Allopneus et le changement prévu dans la semaine. Parce que le week-end suivant, je dois remonter en Bretagne et j’ai besoin des 7 places du Rodius. Ça va être juste niveau timing mais ça passe.

Mais c’est pas fini…

Le lendemain de notre crevaison, on a droit à un nouvel épisode orageux comme on en connaît l’été en montagne. Sauf que le vent est de la partie. Sauf qu’un arbre près du parking penche dangereusement. Qu’il penche vers notre Rodius… Le Rodius qu’on ne peut pas déplacer pour cause de pneu crevé (+ fracture du dos de l’homme qui ne peut pas mettre la roue de secours, mes petits bras musclés n’étant pas à la hauteur pour soulever les 2T5 du Rodius sur un cric…). On essaie de se rassurer, le vent pousse l’arbre dans l’autre sens, il n’est pas dans la direction de notre voiture. Et puis d’un coup, une rafale fait pivoter l’arbre qui s’arrête EXACTEMENT au-dessus de notre Rodius, et toooooombe au ralenti, comme dans un film. Le Rodius sous un arbre avec son pneu crevé, on a atteint le summum…

Rodius_pneu_crevé_arbre_tombé
LA poisse

Heureusement là encore, plus de peur que de mal. L’arbre n’es pas de grosse taille et il est tombé doucement, le Rodius est costaud, il s’en sort sans trop de dégâts. Juste une bonne crise de curiosité de tous la habitant de la rue qui défilent pour observer cette voiture abandonnée, sans assurances (on n’a pas encore reçu le papillon vert..), avec les vitres teintées, immatriculée dans les Bouches-du-Rhône. En même temps que mon dépôt de plainte pour le pneu crevé, je préviens le commissariat local que c’est bien NOTRE voiture, et pas une voiture volée. Sur un malentendu, la fourrière pourrait l’embarquer…

Episode 3 : biellette & co

2 jours plus tard, notre sauveur (le monteur d’Allopneus) nous remet le Rodius d’aplomb. Je me dis que c’est ENFIN terminé, 4 pneus bien gonflés, plus d’arbre à l’horizon, tout-va-bien. Sauf qu’au moment de payer, le monsieur me demande l’air de rien :
– « vous avez vu que vous avez une biellette arrière cassée? ».
– « Euh… Non » (c’est grave docteur?).
– « c’est pas trop grave, vous pouvez rouler, mais faudra penser à la changer ».
Ok, je dois faire 2000 bornes d’ici la fin de semaine, on verra la semaine prochaine! Pour l’instant, je vais récupérer ma fille au poney club… avec mon Rodius, youhou!!!

Mais c’est toujours pas fini…

Au premier virage, le Rodius fait un bruit suspect de l’arrière. Au rond-point suivant, j’ai l’impression qu’il va se disloquer. A chaque ralentisseur, un gros bruit sourd me donne l’impression qu’on tape avec une masse à l’arrière de la voiture. 2000 bornes d’ici la fin de la semaine, donc… #ToutVaBien
Me voici plongée dans les docs techniques, carnets d’entretiens et autres vues éclatées pour comprendre le pourquoi du comment. Je n’ai qu’une confiance limitée dans les garagistes, je n’ai pas envie d’aller voir le premier venu qui va me trouver une réparation à 1000€ parce que je suis blonde. Et puis le monteur de pneu m’a dit qu’une biellette, ça n’empêchait pas de rouler, c’est pas logique que ça fasse tout ce bruit… Après enquête, je me rends compte que les biellettes ont déjà été changées 6 mois plus tôt (dans un garage Renault, on est vraiment maudit). Et le lendemain, miracle, plus de bruit (enfin presque… juste un petit bruit occasionnel tout à fait acceptable pour traverser la France 😉 ). J’ai eu le temps de commander une nouvelle biellette qui arrivera directement en Bretagne, histoire de pouvoir faire le changement si le bruit revient. Me voici à nouveau presque rassurée, je prends la route à bord du Rodius avec les 3 crapouillots, direction Disneyland, puis la Bretagne.

C’est pas fini

Nous avons à peine roulé 100km que le voyant « Check Moteur » s’allume. Le méchant voyant orange qui te fait faire des cauchemars en pleine nuit quant tu rêves que tu cales sur l’autoroute… Le voyant est allumé mais la voiture contenue à rouler comme si de rien n’était, je ne panique pas (c’est pas mon genre ^_^). Je suis -simplement- légèrement stressée jusqu’à la prochaine aire de repos, où je m’arrête en remerciant tous les dieux de la Terre d’être arrivée jusque là sans tomber en panne.
Là, j’applique la politique de l’Autruche, qui marche aussi très bien (parfois) pour l’informatique. J’éteins tout, et je pars l’air de rien avec les enfants pour prendre le repas du soir. Je reviens 1/2h plus tard en espérant que le voyant se sera miraculeusement éteint quand je vais démarrer la voiture. Un petit bug sans gravité, quoi. Une hallucination…
Raté 🙁 Le voyant est toujours allumé. Je vérifie par acquis de conscience dans le manuel ce qu’il convient de faire : la voiture peut passer en mode dégradé (perte de puissance), dans ce cas aller immédiatement au garage ; sinon pendre RDV au garage rapidement. Très bien, pour l’instant on roule, on va continuer comme ça en croisant les doigts (et en serrant les fesses). Ambiance dans la voiture pour le départ en vacances…
Et 2 minutes plus tard, alléluia, le voyant s’éteint!!! La politique de l’autruche, finalement, c’est pas si mal 😉 Après avoir épluché le forum de référence sur internet quelques jours plus tard, je découvrirai qu’il s’agit d’un faux-contact entre des fils à force de faire coulisser le siège conducteur sur le rail.Rien de méchant, donc, juste de quoi se faire une belle frayeur de plus.

Après quelques galères de plus pour trouver un garagiste qui accepte de me changer la biellette (fournir les pièces au garagiste pour qu’il se limite à les changer relève de l’exploit…), les câbles remis à leur place sous le siège, revoici le Rodius prêt pour un nouveau départ.

Episode 4 : le pare-brise… mais pas que

Pendant plus jours, nous savourons notre Rodius et son espace gigantesque pour toute la famille. Ils avalent les kilomètres sans problèmes, nous sommes aux anges. Avant de redescendre sur Annecy, on passe chez le réparateur de pare-brise car on a remarqué un impact. On veut juste le faire réparer car on a peur qu’il finisse par fissurer complètement.
Pour compliquer la chose, le monsieur nous explique que notre pare-brise n’est pas réparable car c’est un pare-brise chauffant (et là, je surkiffe le prochain hiver en Haute-Savoir sans avoir besoin de gratter le matin!), la résine ne marche pas dans ce cas, il faut changer tout le pare-brise. La franchise est remboursée, ça ne nous coûtera rien, on prend RDV. Le changement de pare-brise est fait 2 jours plus tard, on récupère un Rodius flambant neuf qui est passé se faire une beauté dans la station de lavage voisine, c’est parfait. Parfait pendant 2 kilomètres. Le temps d’aller jusqu’au supermarché voisin et de s’arrêter y faire une course. Au moment de repartir, un bruit métallique indescriptible sort du moteur quand l’Homme tourne la clé, avec une odeur de plastique brûlé en prime.

Là on se dit que quand même, on n’a vraiment pas de bol. On ouvre le capot totalement consterné, et là on se dit qu’à coup sûr, un outil a été oublié par là… Vu le bruit métallique, ça ne peut être que ça. Très vite, on trouve : un joint en plastique avec un renfort métallique s’est enroulé sur l’axe du ventilo à l’avant du moteur…. avant d’être déchiqueté et de partir en lambeaux dans le reste du moteur…
En regardant le moteur, on voit que le joint vient du bas du pare-brise, entre le bas du pare-brise et le moteur. Visiblement, il n’a pas été remis à sa place. Pour une fois, on n’a pas envie de rire. On vient de récupérer notre Poupoune pour qu’elle profite d’une soirée « fille unique », et bien pour changer ce sera « en attendant la dépanneuse… ».
En attendant, justement, je joue les experts dans le moteur pour essayer de récupérer les morceaux de joints déchirés. Coup de chance, on est sur le parking d’une grande surface peu fréquentée à cette heure si, on a de la plce.

Mais c’est pas fini…

Une voiture ralentit pour se garer à côté de nous. Il y a des places PARTOUT ailleurs, on a le capot relevé et les portières ouvertes (hey, mec, on est en panne, tu vois pas???), et le gars veut se garer juste à côté de nous. Je demande à ma fille de se pousser, je ferme les portières pour faire de la place, et je me remets à inspecter le moteur histoire de bien faire comprendre au gars qu’il m’emmerde à vouloir se garer là (je suis énervée, ça se voit?). Et là, j’entends mon homme qui crie, tape sur l’autre voiture, et avant que j’ai le temps de comprendre quoi que ce soit, je vois l’autre voiture encastrée dans mon Rodius, à 2 cm de ma jambe. Le mec avait un boulevard pour se garer, il a réussi à prendre trop large et à venir se coller dans la calandre avant de ma voiture en panne. Même en l’écrivant, ça me semble irréel…
Quel est le comble pour quelqu’un qui est en panne? Se faire rentrer dedans en attendant la dépanneuse! –> Ça pourrait être une blague Carambar.
Mais surtout, j’étais juste devant la voiture. J’ai senti la voiture qui essayait de se garer contre ma jambe. A 2 cm près, c’est ma jambe qui était entre sa voiture et mon Rodius. Ma jambe écrasée… Finalement, ça nous a aidé à (re)prendre cette panne avec philosophie et se dire que bon, une panne matérielle, c’était pas si grave.

Rodius_panne
Comme un air de déjà vu…

La suite… au prochain épisode!

A l’heure actuelle, on n’a pas récupéré notre Rodius.
Le dépanneur refuse de le réparer mais refuse aussi qu’un autre garagiste vienne le chercher (il veut se faire un max de thunes sur notre dos en promenant le Rodius lui-même…).
L’expert est passé très rapidement et est plutôt optimiste sur les dommages moteurs (heureusement qu’on a juste tourné la clé, le moteur n’a quasiment pas tourné avec le joint enroulé).
La société de pare-brise fait fonctionner son assurance qui devrait prendre tous les frais en charge.

Donc… on attend. Et on a retrouvé notre mini-Chevrolet qui continue de nous sauver la mise!

Et chez vous, cet été, c’était comment? Des pannes de voiture à signaler? Qu’on se sente moins seul dans nos galères 😉

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *